Le plus beau métier du monde est un métier qu’on ne voudrait changer contre aucun autre au monde, dont on ne se lasse pas, qui ne fatigue jamais et qu’on se sent privilégié de pratiquer. Un métier dont on est prêt à parler sans cesse, toujours avec enthousiasme et sincérité. Un métier qui procure de la dignité, un sentiment d’accomplissement, une joie immense, le respect des valeurs et le respect des autres.
Faire le plus beau métier du monde est un idéal de vie professionnel, mais aussi personnel, indispensable au bien-être (physique, intellectuellement et moral).
Faire le plus beau métier du monde donne l’impression que chaque effort n’en est pas un et on est prêt à recommencer chaque jour pour ne s’arrêter seulement que lorsque le corps réclame à dormir. Car lorsque l’on fait le plus beau métier du monde, on ne compte pas ses heures de travail. On s’investit à fond avec passion et détermination. Dormir reste une nécessité pour le corps, se reposer pour être au mieux de sa forme physique et mentale. Mais on continue à faire le plus beau métier du monde, sans s’arrêter, dépassant alors les limites qu’on pensait avoir. Comme si l’énergie que l’on dépensait n’était pas vraiment perdue mais plutôt recyclée.
Se donner les moyens de faire le plus beau métier du monde ne se fait pas sans difficultés, sans souffrances et sans concessions. C’est peut être le prix à payer pour faire le plus beau métier du monde.
Le plus beau métier du monde est celui qui a le potentiel de vous faire vivre confortablement. Je ne parle pas seulement d’argent, même si l’on a conscience qu’avoir de l’argent pour pouvoir manger et consommer est une nécessité.
Le plus beau métier du monde contribue à un équilibre vital, faisant partie intégrante d’un processus de bien-être et un plus dans l’épanouissement. Celui qui s’épanouit dans son travail, dans ses activités professionnelles, et auprès de son entourage professionnel, fait sûrement le plus beau métier du monde. Le travail ne doit pas être une « torture », ni l’effort un « calvaire », mais doit plutôt fournir le plaisir de se réaliser professionnellement et aussi personnellement. Faire le plus beau métier du monde n’est pas une corvée. C’est plutôt travailler avec plaisir, se donner à 100%, donner plus que demander, s’investir, … Il est bien sûr gratifiant d’avoir des retours sur son travail (peu importe la manière dont cela se manifeste) pour exister et trouver sa place. C’est une garantie de faire parfaitement son travail, de prendre soin de faire la moindre chose en y mettant du coeur et de la volonté. C’est une stimulation indispensable.
Qui plus est lorsqu’en faisant le plus beau métier du monde, on partage et apporte du bien être et du bonheur aux autres.
Le plus beau métier du monde est celui que vous faites avec plaisir, avec coeur et générosité. Faire le plus beau métier du monde est sans aucun doute une affaire de cœur !
Je fais le plus beau métier du monde !
Et vous, êtes-vous de ceux qui font le plus beau métier du monde?
« Choisissez un travail que vous aimez et vous n’aurez pas à travailler un seul jour de votre vie. » – Kǒngzǐ